BRANCHES
Pièce Chorégraphique (35 minutes) de Patricia Chen avec la collaboration des danseurs :
Aurore Aulong,
Agathe Boulanger,
Grégoire Devidal,
Gwendal Raymond.
Musique :
Alexandre Garreau
&
Galen Bangs (avec Patricia Chen).
- FR -
« Branches » c’est l’histoire de personnages dont les contours sont mis en relief par leurs rapports avec l’autre, à travers un langage corporel/gestuel résultant de processus aléatoires chorégraphiques et linguistiques. Des duos basés sur le soutien et la complicité se dessinent sur un fond de mouvements de groupe, où l’unisson improbable est moteur d’une communauté tragi-comique amoureuse éphémère. «Branches » c’est : des bras comme des branches, Naomi avec un problème dentaire, Diane et son cerf, un ami qui t’aide, la documentation des bras, un cabaret absurde, une danse en vitrine, des femmes un peu homme et des hommes un peu femme, des dauphins, des nuages et des fontaines. Toute la musique est originale et utilise des éléments récoltés des moments de vie et du travail du groupe, reflétant le caractère personnel et intime de la pièce.
- EN -
“Branches” is the story of characters whose contours are thrown into relief through their relationships with one another. The raw corporal/gestural language, resulting from chance operations and linguistic transpositions, has been woven into duets, quartets and unison movements in which support, complicity and interdependence are major themes. The dancers evolve beside or in counterpoint to one another, and their ephemeral community traverses a dramatic space in which love, cooperation, empathy, and collective mischief create tableaus of a tragicomic and tongue-in-cheek nature. “Branches” is: arms like branches, Naomi with something in her teeth, Diana and her stag, a friendly helper, the documentation of arms, a zany chorus line, a dance in a window, women like men and men like women, dolphins, clouds and fountains.
All of the music for the piece is original and parts were created using the dancers’ own words and ambiances from the working process made into sound collages, reflecting the idea that the piece grew from the group’s own specific relationships.